Par Bill Mitchell
Our children never hand real output back in time
13 Decembre 2010
Bill Mitchell est Professeur de recherche en économie et Directeur du Centre du Plein Emploi et Équité (CofFEE), a l'Université de Newcastle, NSW Australia.
Il y avait une conférence intéressante à Tokyo la semaine dernière qui presentait l’universitaire Eisuke Sakakibara, l'ancien vice-ministre des Finances du gouvernement Japonais qui est surtout connu sous le nom "Monsieur Yen" étant donné sa connaissance du système bancaire et marchés financiers mondiaux.
Sakakibara prédit une récession prolongée jusqu'en 2015 parce que les déficits budgétaires sont délibérément retirés par des gouvernements qui sont clairement dans l'erreur. Les néo-libéraux affirment que les ratios d'endettement public doivent être réduit afin de réduire la "charge d'impôts futurs sur nos enfants".
La réalité est que les charges entre les générations fonctionnent exactement dans le sens contraire dans un système monétaire fiat de ce que prétend le dogme néo-libéral. La direction fiscale malavisée ou les néo-libéraux nous poussent imposera un fardeau réel sur nos enfants. Ils seront moins instruits, moins qualifiés, moins expérimentés, et auront des revenus plus bas dans l'ensemble en raison de l'austérité budgétaire.
Leurs possibilités futures seront réduites en conséquence. En fait, l'argument anti-budget en entier est juste un truc pour trouver des moyens par lequel les élites peuvent obtenir plus de revenu réel maintenant et plus tard. Répandre la production réelle plus largement à travers des interventions fiscales frustre cette aspiration. De manière significative, nos enfants n'auront jamais besoin d'envoyer leur production réelle en arrière dans le temps afin de payer la dette publique engagés à un moment antérieur.